Des unités MACSTOR se trouvent actuellement à la centrale nucléaire Gentilly-2. Il tient également compte du potentiel de risque associé aux différents types de déchets radioactifs. Elle fournit un peu plus de 10 % de l’électricité à l’échelle mondiale (voir la figure 1). Si ces grappes étaient placées bout à bout, elles occuperaient l'équivalent de sept patinoires de hockey, depuis la surface de la glace jusqu'au haut de la bande. Le transport des matières radioactives de haute activité s'effectue de manière sûre à l'échelle nationale et internationale depuis plus de 45 ans par voie routière, ferroviaire, maritime et aérienne. Une partie des vieux déchets existe sous forme liquide, tandis que les déchets récents sont solidifiés.Les LCR stockent dans trois réservoirs des déchets liquides produits par le retraitement du combustible effectué de 1949 à 1956. Leur approbation est prévue pour jeudi prochain lors d’une réunion publique de la Commission canadienne de sûreté nucléaire, un tribunal administratif fédéral.Notons que les inquiétudes des groupes de pression ne touchent pas tant la gestion du combustible nucléaire usagé, qui a fait l’objet d’un dossier récent dans Les ONG organiseront une séance d’information destinée aux députés et aux médias mardi, soit deux jours avant l’adoption prévue des règlements.Les groupes citoyens s’inquiètent notamment d’un changement dans la distinction entre les déchets radioactifs dits de « La formulation actuelle ne fournit pas d’indications suffisantes sur la gamme de facteurs qui devraient être considérés pour déterminer les exigences de confinement et d’isolation, ce qui pourrait conduire à des exigences inappropriées.Extrait d’un texte rédigé par des acteurs de l’industrie nucléaire canadienneDans leurs commentaires, les producteurs d’énergie nucléaire réclament aussi qu’on précise clairement qui est responsable de catégoriser les déchets nucléaires au pays. Deux des quatre réacteurs SLOWPOKE-2 canadiens utilisent de l'UFE (moins de 20 % d'uranium 235) et les deux autres utilisent de l'UHE. Le radium était raffiné à des fins médicales et, plus tard, l'uranium a été traité à Port Hope, en Ontario. En plus des installations énumérées ci-dessous, plusieurs autres mines d'uranium inactives et déclassées sont gérées conformément à des permis délivrés par la CCSN.Divers déchets de réacteur et de production d’isotopes; sols contaminés et déchets externes; combustible nucléaire uséInstallation de gestion des déchets de Douglas Point Installation de gestion des déchets de Gentilly-1 Installation de gestion des déchets de Gentilly-2Installation de gestions des déchets du réacteur nucléaire de démonstration Installation de gestion des déchets de Pickering Déchets provenant du remplacement des tubes au cours de travaux de réfectionInstallation de gestion des déchets de Point Lepreau Déchets du réacteur en exploitation; déchets provenant du remplacement des tubes au cours des travaux de réfectionSite de stockage temporaire du prolongement de la rue PineInstallation de gestion des déchets radioactifs de Port HopeAire de stockage des déchets radioactifs du complexe nucléaire de Bruce, Site 1 (ASDR-1)Déchets de faible et de moyenne activité provenant de l’installation de gestion des déchets de Douglas Point et de Pickering-A Installation de gestion des déchets de DarlingtonCombustible nucléaire usé; déchets provenant des travaux de réfectionInstallation de gestion des déchets Western (IGDO) Entreposage temporaire des déchets de faible et de moyenne activité provenant des centrales de Bruce-A et B, de la centrale de Darlington et des centrales de Pickering-A et BDéchets provenant du réacteur de recherche; combustible nucléaire usé Installation de gestion des déchets de Clover Bar de l’Université de l’Alberta Déchets de faible activité provenant des laboratoires de recherche Déchets de faible activité provenant des laboratoires de rechercheInstallation d’entretien central et de lavage de Bruce PowerProjet de gestion à long terme des déchets radioactifs de faible activité de Port HopeProjet de gestion à long terme des déchets radioactifs de faible activité de Port Granby Tous les trois ans, Ressources naturelles Canada (RNCan) recueille, compile et analyse des données sur l’inventaire des déchets radioactifs au Canada.Les données d’inventaire sont communiquées à l’échelle internationale par l’intermédiaire des Un des grands principes de l'AIEA et de la politique d'application de la réglementation P-290, Pour ce faire, les titulaires de permis sont tenus de créer un programme de gestion des déchets qui permet de réduire le volume global de déchets radioactifs qui doivent être gérés à long terme.Ces derniers doivent également évaluer les nouvelles technologies et techniques de gestion des déchets radioactifs et les mettre en œuvre dès que possible.