Autres; Photo Chantal Poirier. C’est ainsi qu’on voit ces ogres de toutes espèces marcher en déambulatoire dans les lieux où justice sera rendue, ou venir affirmer encore une fois leur parole criminelle enrobée dans des mots qu’ils appellent « l’amour », dans l’espace public d’où ils disparaîtront à jamais avec leurs amis et protecteurs.

Mardi, 14 janvier 2020 20:23 MISE À JOUR Mardi, 14 janvier 2020 20:23 Coup d'oeil sur cet article. Et ces autres qui n'ont rien trouvé de mieux que de se faire tatouer un mot-clic subtil, nuancé et poétique : #tagueuledenise. Mais j’avoue que le comble de la bêtise, c’est quand même ce tatoué qui a trouvé tellement horrible le texte de Denise sur les tatoués ... qu’il s’est fait tatouer le visage de Denise.

Denise Bombardier . (Ça me rappelle, quand Denise avait critiqué la pauvreté du français des humoristes et que Guy A. Lepage lui avait répondu en plein gala... "Pénélope McQuade, toujours de tous les combats progressisteogauchistoinindignés, y est allé de son témoignage, une enième variation sur le même thème, pour dire en gros: "Moi aussi, moi aussi, je me suis fais tatouer, regardez-moi, comme je suis intéressante ». Ouf. Il n’aurait pas fallu qu’une caravane de la polémique passe sans que Pénélope n’y soit associée. Pensons à la mode du tatouage, qui s’est répandue chez les jeunes aujourd’hui adultes en instance de vieillir. Je te laisse lire cette chronique que tout le monde partage sur le web avec indignation. Ses adversaires lui répondent avec des borborygmes, des onomatopées, des phrases bancales, des phôtes et des maladresses, et des injures bâclées.

Le plus ironique dans cette histoire, c’est que les adversaires idéologiques de Denise ne sont jamais capables de lui répondre à son niveau.

Ainsi goûtent-ils aux fruits enivrants du pouvoir, de la domination et de l’exclusion de ceux qui ne sont pas eux.Attirés par les marginalités diverses, ils tombent facilement dans la victimisation, un statut qu’ils recherchent et leur permet de culpabiliser d’éventuels futés qui arriveraient à les démasquer. Vendredi, 10 janvier 2020 05:00 MISE À JOUR Vendredi, 10 janvier 2020 05:00 Coup d'oeil sur cet article. Dans sa plus récente chronique Denise Bombardier s’attaque aux tatouages ainsi que les gens qui en ont.

Le dernier billet de Denise Bombardier a eu l’effet d’une bombe samedi. Cette époque me décourage. Trop de dégoût habite ceux qui ont souffert et ceux qui se sont indignés de ces comportements abjects. Denise s’exprime dans un français impeccable, avec un vocabulaire recherché, une langue châtiée. Cette altération du corps de manière quasi irréversible a transformé des êtres en monstres, en personnages de mauvaises bandes dessinées, bref en personnes déshumanisées. Mais personne n’a envie de se réjouir. Ils se regroupent, car ils se reconnaissent dans des signes et des comportements douteux qui les remplissent de plaisirs plus ou moins pervers.Ils se rient des autres, se congratulent et vivent en quelque sorte en sectes. Quelle angoisse cela peut devenir chez ceux qui éprouvent un jour du regret de s’être ainsi mutilés.Il en est de même des idées à la mode sur lesquelles s’abattent tous les obsédés cherchant à s’affranchir des interdits, des tabous et des codes sociaux, moraux ou culturels dont ils se croient prisonniers. La dernière tempête dans une cartouche d’encre, c’est celle des Tatoués c. Denise Bombardier. C'est tout le contraire de la fameuse phrase de Michelle Obama, "When they go low, we go high".

Sophie Durocher .

Par ignorance, ou par confusion d’esprit, ces gens sautent à pieds joints dans ce qu’ils croient être le progrès et la supériorité sur les honnêtes gens, qui respectent les règles et incarnent la vie ennuyeuse et ratée du « monde ordinaire ».Ces amateurs à la recherche de toutes les nouveautés parfois illicites et sexuellement déviantes et criminelles se proclament libres et s’estiment au-dessus de la mêlée. Denise Bombardier contre Les Tatoués.

Je m’explique. Ses futilités, ses controverses insipides, l’incapacité des plus jeunes à débattre intelligemment.

Pauvre eux. Dans 40 ans (ou avant), quand leurs chairs seront flétries, quand leurs bras pendouilleront comme une vieille peau, se souviendront--ils même pourquoi ils avaient trempé leur aiguille dans l’encre du mépris ? Leur réputation leur permet, croient-ils, d’acheter les « faibles », qu’ils ont soumis à leurs vils instincts et à leurs désirs irrépressibles et insatiables.Un jour, à force de se gaver de puissance, ils commettent un impair impardonnable, celui de se prendre pour Dieu lui-même.

Ces abuseurs, exploiteurs et manipulateurs se croient au-dessus des lois, et dans leur omnipotence ils sous-estiment leurs victimes, qu’ils méprisent.