Plusieurs stations de ski savoyardes pourraient ainsi être bloquées le 15 février prochain, premier jour des vacances de la Zone B, une des périodes les plus fréquentées de …

À partir de samedi, des actions syndicales sont prévues dans de nombreuses stations de ski de l’Hexagone pour protester contre la réforme de l’assurance-chômage. Le syndicat réfléchissait à d’autres actions parallèles, peut-être "moins pénalisantes pour les vacanciers", telles que des opérations sur des péages, des barrages filtrants et des distributions de tracts.

Des grévistes qui resteront malgré tout mobilisables : "Ils mettront un brassard mais resteront à proximité de leur lieu de travail pour aider au besoin".

Plusieurs syndicats ont appelé à la grève dans les stations de ski pour protester contre les réformes de l'assurance chômage et des retraites. Le début de la mobilisation est fixé à samedi matin à partir de 8h30. Il y a donc beaucoup de choses qui ne tourneront pas, notamment les remontées mécaniques. Dans les stations de ski, les actions prévues par FO le 15 février prochain auront bien lieu, nous apprend l'organisation syndicale,. LCI a posé ces questions à Yvan Bellebouche, conducteur de téléporté à attaches débrayables et délégué syndical CGT aux Deux-Alpes.L’idée n’est pas de bloquer, mais il y a un bon nombre de salariés qui ne seront pas sur le terrain.

Vous pouvez à tout moment utiliser le lien de désabonnement intégré dans la newsletter. Il n’y aura pas de blocage, mais le domaine skiable sera réduit.Selfies et fusils : comment des Instagrameuses tentent de redorer l'image de la chasseTous concernés : les personnes âgées les plus touchées par le virusRespect du port du masque : les vigiles en première ligne"Nos frères morts pour la France" : sur la trace des soldats africains de la Seconde guerre mondiale "Ma vie d’après" : Élisabeth, la bonne fée des routiersProstitution des mineures : des adolescentes exposées très tôt aux violencesAccord sur le plan de relance européen : Emmanuel Macron invité du 20H de TF1 ce mardi soirEmploi des jeunes : un plan à 6,5 milliards d'euros, le gouvernement espère 450.000 embauchesL'État va aider la SNCF "à hauteur de plusieurs milliards d'euros""Cet été avec vous" : sensations fortes dans le parc de la Vanoise, en SavoieComment se passent les vacances aux Sables-d'Olonne ?Un soldat français tué au Mali dans des combats contre des groupes armésBiélorussie : "La Russie s'agace depuis longtemps du jeu de balancier de Loukachenko"Naufrage à l'Île Maurice : "Les conséquences vont se ressentir pendant plusieurs décennies"Montants, conditions... ce qu'il faut savoir sur l'allocation de rentrée scolaire versée ce mardiVIDEO - "Donald Trump n'est pas le bon président pour notre pays" : la charge virulente de Michelle ObamaAffaire Christophe Girard : enquête préliminaire ouverte pour "viol"Recevez les alertes infos pour les sujets qui vous intéressentRecevez chaque jour une sélection personnalisée d'articles et de vidéosVotre adresse de messagerie est utilisée uniquement pour vous envoyer nos newsletters personnalisées et autres messages de prospection pour des produits et services analogues du Groupe TF1. La semaine dernière, les syndicats FO et CGT du secteur des remontées mécaniques avaient appelé à des débrayages dans plusieurs stations de ski de France en opposition à la réforme de l’assurance-chômage et à ses conséquences sur le calcul des allocations pour les contrats saisonniers. MOBILISATION – À partir de samedi, un préavis de grève dans les stations de ski a été lancé par les syndicats pour protester contre la réforme de l’assurance-chômage. "Nous regrettons de n’avoir trouvé pour l’instant aucune volonté de déroger à la réforme du chômage qui va impacter considérablement les salariés saisonniers dès le mois d’avril (...), que la seule voie de secours présentée soit celle de la formation", déplore FO Transports dans un communiqué.La réforme de l’exécutif prévoit notamment des nouveaux modes de calcul des indemnités chômage à partir du mois d’avril, non plus sur les seuls jours travaillés, comme c’est le cas aujourd’hui, mais sur le revenu mensuel.