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Mis à part le début et la fin à Paris, quelques scènes de gare et de rue, il est quasiment en …
Servie par une abondante domesticité, elle y retrouve sa mère (Marisa Borini), sa sœur (Valeria Golino) et le mari de celle-ci (Pierre Arditi). "Contenu refusé" :
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Les Estivants est le quatrième long métrage de fiction réalisé par Valeria Bruni Tedeschi à sortir en salles après Il est plus facile pour un chameau..., Actrices et Un château en Italie.
Le ton du film est trop documentaire .
Mais quand, comme c’est le cas dans "Les estivants", tout est d’une lourdeur infinie, sans aucun recul, le nez dans le guidon, quand les personnages sont tous caricaturaux et la plupart des scènes complètement improbables, sans qu’on arrive à savoir si c’est, ou non, volontaire, quand l’ensemble du film se révèle totalement affligeant, on a envie de crier : stop, Valeria, arrêtez de faire du cinéma, ou proposez nous autre chose. Quel ennui abyssal... Bavardages inutiles, film inutile sur la vie inintéressante de la réalisatrice. Si on mettait le nez là-dedans si j'ose dire, on aurait bien des surprises. Là , on assiste à une tentative de réel augmenté qui ne passe pas.
Pour Les Estivants, Valeria Bruni Tedeschi préfère parler « d’autobiographie imaginaire ».
Le film, un peu long, possède les défauts de ses qualités et dans la pléthore de personnages, manque celui, équilibré, qui offrira la nécessaire respiration empathique qui manque chez tous ces personnages pour la plupart enfermés dans leur névrose.
C’est un bon film.
[French, from Italian piaggia, ultimately from Greek plagia, neuter pl. J’ai aimé Outre le fait de raconter sa vie dans cette autofiction affectée, elle brasse tout un tas de thèmes sans les approfondir : la fin de l'amour, le deuil, l'arrogance des nantis, l'insoutenable légèreté de la bourgeoisie, la lutte des classes, etc. Derrick Borte avec
Dan Scanlon
», s’exclame Arditi, de l’eau jusqu’au nombril… Dans ce culte de l’entre-soi où le spectateur n’a guère de place – exception faite du spectateur qui, à l’instar des protagonistes ici réunis, se délecte de sa médiocrité bourgeoise –, on ne rit jamais, on ne pleure jamais.
Chacun se bouche les oreilles aux bruits du monde et doit se débrouiller avec le mystère de sa propre existence.
(Comme dirais l'autre) si j'aurais su, j'aurais pô venu. Location à partir de
Publiée le 20 avril 2019 Un film grandement autobiographique de Valeria Bruni-Tedeschi dans lequel on n’a aucun mal à la reconnaitre, ainsi que sa mère, sa fille adoptive, son frère décédé prématurément du SIDA, son mode de vie, sa rupture et sa dépression, mais aussi sa célèbre sœur, Carla Bruni, qui par contre, est ici dépeinte différente de ce qu’on sait d’elle, notamment sans son mari Nicolas Sarkozy mais avec une espèce d’ex-grand industriel particulièrement odieux et cruel.
Avec
C'est magnifique de voir réunis à l'écran Pierre Arditi, Noémie Lvovsky, Valeria Bruni et Pierre Arditi. "Il y avait tellement de personnages à filmer que nous avons opté pour la simplicité, presque l’immobilité.
Après avoir raconté sa vie parisienne, Valeria Bruni-Tedeschi translate ses proches sur les bords de la Méditerranée, dans une villa dont le luxe et la localisation sont sans doute comparables à ceux de la maison de sa mère, près du cap Bénat, à une encablure du fort de Brégançon.
Une réussite! C’est la description, dans une somptueuse demeure, d’une réunion de famille avec ses rires, ses secrets et ses drames. Suivre son activité
Dans un jardin qu'on dirait éternel Bande-annonce VO Lire ses 247 critiques Mais là, cela avait l'air différent, la bande annonce vive et agréable m'a poussée à voir son nouveau film.
Passe le ...