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chevesne Blog 0.
Comme nous l’avons vu, il est possible de prendre du chevesne toute l’année ! Il faut alors lancer le leurre juste derrière lui, le chevesne se retournera alors et attaquera par réflexe.Ce poisson est tellement lunatique qu’il faut parfois adapter ses animations de leurres selon son humeur du moment : frétillements du leurre à la surface, do-nothing (aucune animation), gros twitchs, accélérations progressives … A vous de voir ce qui fonctionne le mieux le jour où vous pêchez !Sur certains postes à fort courant, il m’arrive parfois de pêcher vers l’aval. Et pourtant, quel autre poisson aux moeurs de carnassiers, à part peut être la perche, se trouve-t-il aussi répandu que lui dans nos cours d’eau ? Ainsi, il mange de tout (insectes, fruit, fromage) et ne dédaigne pas engloutir quelques petits poissons de temps en temps … C’est donc ce dernier petit penchant pour la chair de ses congénères à nageoires que nous allons exploiter.C’est un des poissons les plus méfiants de nos eaux douces.
New; 6:05. Le coût par kilo de mûres est assez élevé, mais on en a pas besoin d’une grande quantité pour une séance amusante alors.... si vous ne voulez pas vous piquer les doigts, vous savez comment faire !Le raisin, on le sait bien, est l'un des appâts les plus appétissants pour le chevesne. Zone peu profonde calme ou à courant faible ou modéré :Zone profonde calme ou à courant faible ou modéré : Pas si simple la pêche du chevesne à vue à la mûre ! S'inscrire à la newsletter. Mais elle est peu pratiquée, principalement parce que l’on croit que ces appâts nécessitent d’un pré-amorçage que la plupart des pêcheurs n'ont pas le temps et l'envie de réaliser.En réalité, ce pré-amorçage ne s’impose que pour certains d'entre eux, alors analysons en détail chacun de ces appâts, en les présentant en fonction de leur caractère saisonnier.Dans la deuxième quinzaine de juin, lorsque ce fruit atteint sa pleine maturité, il est temps de cibler les gros chevesne qui sont très friands de ce fruit rouge.La cerise nécessite d’un pré-amorçage pour habituer le chevesne à s'en nourrir, amorçage qui peut aussi se faire en une seule fois, en jetant dans l'eau une certaine quantité de fruits, plus ceux-ci sont mûrs mieux c'est, au moins deux jours avant le jour où nous allons à la pêche.La quantité de cerises à lancer dépend exclusivement de l’extension du spot, de la quantité d'eau et du fait que les poissons qu’on essayera de saper connaissent déjà les cerises, parce qu'ils les ont goutées les années précédentes, ou pas.Une chose à éviter absolument, lorsque l’on pêche avec des fruits comme les cerises, les mûres ou les raisins, est d’amorcer massivement le même jour de pêche.
La tradition veut qu'il s'agisse d'un appât de septembre, même si en réalité, on peut avoir de belle séances de pêche au raisin tout au long de l'été.Les raisins à utiliser doivent être noirs et les grains plutôt petits : le meilleur est certainement l’Isabelle, que l'on trouve déjà en juillet sur les marchés des fruits et légumes.
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Il ne me reste plus qu'à trouver des leurres souples imitation mûre !
TIM FISH 842 views. Idéalement un float-tube vous permettra des approches en toute discrétion sur des posts inaccessibles en péchant du bord. Une petite agrafe fine et légère fixée en bout de ligne permettra un changement rapide et facile du leurre.Une paire de lunettes polarisantes permettra de voir plus facilement à travers la surface et fatiguera moins les yeux. Ma revanche ! Voyons comment le séduire avec des fruits, une technique ancienne et un peu oubliée.La pêche aux fruits a de nombreux avantages : elle est économique, propre et nous permet d'éviter la gêne des petits poissons.
Gare aux triples plantés dans les mains !
Pêche à la ligne flottante.
On ne capotera pas, bien sûr, mais lorsqu’on attrapera si peu de poisson là où seulement un mois avant on pêchait fabuleusement, on devra se demander s'il n'est pas arrivé le moment de changer quelque chose comme par exemple le bon vieux asticot.Dans cette période les baies de sureau se révèlent être l’appât qui pourra nous donner une séance merveilleuse, en compagnie du chevesne bien sûr, mais aussi de barbeaux et de carpes, bien gourmandes de fruits sucrés.Il n'y a pas de pêcheur qui ne connaisse pas le sureau, qui pousse en abondance le long des rivières et le long des routes de campagne et des collines, de sorte qu'il peut être trouvé par tous avec une extrême facilité.Cet appât ne nécessite presque pas de pré-amorçage vu que les plantes sont abondantes le long des cours d'eau et laissent toujours tomber les baies mûres dans l'eau, on obtient de cette façon un amorçage naturel. Une courte sortie sur un petit ruisseau au niveau d'eau très bas, pour aller traquer le chevesne à vue avec une technique très simple : la pêche à la mûre!