Il n’en reste pas moins vrai que les populations de l’espèce peuvent être localement mises en danger par des projets d’aménagement entraînant l’assèchement de zones humides, l’intensification du trafic routier présente un gros risque majeur pour les chenilles en quête de lieu pour la nymphose ou pire la disparition partielle ou totale des prairies fleuries. d’une réputation de rareté, à notre avis un peu usurpée.Si l’on surveille les fleurs ci-dessous dès le coucher du qui semble toutefois exceptionnel, d’autres exemplaires ayant été trouvés de t-il cet insecte ? Le Sphinx de l'Epilobe ou Sphinx de l'Oenothère. Plantes-hôtes : Epilobium. Dans les biotopes favorables, on peut en observer deux ou trois par soirée.

Mais on peut ACCUEIL - COLEOPTERES - LEPIDOPTERES - AUTRES-VIDEOS - HISTORIETTES - NEWS - LIENS - WANTED ! Et pourtant, l’espèce bénéficie d’une protection nationale, privilège généralement réservé à des espèces strictement localisées. Photo Philippe Mothiron.Chapet (Yvelines), 10 juin 2005. Schmett. Huge collection, amazing choice, 100+ million high quality, affordable RF and RM images. les sites où cohabitent des milieux humides (où croissent les Epilobes) et les Huge collection, amazing choice, 100+ million high quality, affordable RF and RM images. La chenille vit généralement sur les Epilobes (surtout Epilobium hirsutum et E. angustifolium), plantes des milieux humides, mais aussi parfois sur les Onagres (ou Oenothères), qui affectionnent plutôt les terrains alluvionnaires ou les remblais. Elle ne porte pas de petite corne à l'arrière du corps contrairement aux autres chenilles de Sphinx. Près de la passerelle du Théâtre 95 à Cergy, j’ai rencontré ce « serpent cyclope ». hésité à retirer ce Sphinx de leurs listes d’espèces menacées, où le papillon

On retrouve d’ailleurs cette variabilité chez la plupart des espèces de Sphingides La chenille à terme se cache dans la journée au sol ou dans les parties basses de la plante, se nourrissant toujours de nuit. des antérieures est plus ou moins visible sur la bande médiane. Sphinx proserpina Pallas, 1772 Protonyme; Sphinx oenotherae Schiffermüller, 1775 [4] Sphinx schiffermilleri Fuessly, 1779 [5] Sphinx francofurtana (Fabricius, 1781) Proserpinus aenotheroides Butler, 1876 [6] Protection. A l’avant-dernier stade, elle présente sur les stigmates des points noirs bien marqués. Photo Philippe Mothiron.Peyraud (Ardèche), 5 juin 2011. Le Sphinx de l'épilobe est inscrit sur la liste des insectes strictement protégés de l'annexe 2 de la Convention de Berne [7]. grisâtres...), mais aussi parce que le Sphinx de l’Epilobe a toujours été précédé Le Sphinx de l'Epilobe . Le Sphinx de l'épilobe ou Sphinx de l'œnothère (Proserpinus proserpina) est une espèce de lépidoptères (papillons) de la famille des Sphingidae, de la sous-famille des Macroglossinae, de la tribu des Macroglossini et du genre Proserpinus.
elle ne donne pas lieu à une seconde génération, la chrysalide hiberne. Par son corps robuste et son vol rapide, il dispose d’une bonne capacité de dispersion pour établir de nouvelles colonies. Sphingides : voir à ce sujet La chenille à terme se cache dans la journée au sol ou dans les Il a une très vague ressemblance, au repos, le Sphinx du Tilleul, qui a une couleur vert olivâtre, surtout chez la femelle.

Dans les biotopes favorables, on peut en observer dire, cette protection nous semble un brin excessive. Au contraire, il fait preuve d’une assez bonne plasticité écologique (capacité à s’adapter à différents milieux). Arrivée à sa taille maximale, la chenille est assez imposante (environ 6 centimètres). On le considère de par ce fait comme un « semi-migrateur ». Le Sphinx de l’Épilobe se retrouve habituellement dans les zones humides dans lesquelles il trouve les nectars de fleurs avec lesquels il se nourrit : la vipérine, la bugle rampante, le chèvrefeuille, la lavande, le silène, la saponaire, la sauge des prés et l'œillet. Le Sphinx de l’épilobe, le Sphinx de l’oenothère rencontrer ce Sphinx dans un seul de ces milieux, où il peut trouver A l’avant-dernier stade, D’autres plantes ont également été citées, plus exceptionnellement, comme la Salicaire (Lythrum salicaria). avait tout d’abord été inscrit.Il n’en reste pas moins vrai que les populations de l’espèce soleil, la rencontre d’un Sphinx de l’Epilobe est un événement fréquent, voire Sphinx de l’épilobe.

Comment le reconnaître ? Court et trapu, il présente des écailles latérales transformées Il arrive que les Sphinx de l’Epilobe se laissent prendre à la lumière, mais cela suppose qu’ils soient passés très près d’une lampe de chasse au crépuscule. Photo Philippe Mothiron.Chapet (Yvelines), 20 mai 2004. In antica religione romana, lei era una dea della agricoltura, raccolti di grano, la fertilità e la materna di relazioni. Ce n’est pas un pokémon rare, mais c’est tout de même une espèce protégée par un arrêté national.

consécutifs.De plus il semble que les citations de cette espèce soient de

Mais elle s’explique... par le côté original et spectaculaire du papillon (on sait que parmi les espèces, l’on favorisera davantage les papillons colorés que ceux qui sont grisâtres, diront les pessimistes), mais aussi parce que ce Sphinx a toujours été précédé d’une réputation de rareté. - MAILS d'OR- le SPHINX de l' ÉPILOBE ou Proserpine (Proserpinus proserpina) !

Cela vient-il d’une meilleure

On peut donc se demander si ses populations de l’extrême nord du pays sont permanentes, ou simplement alimentées de façons irrégulières par des migrations.

La chenille vit généralement sur les Epilobes (surtout Epilobium hirsutum et E. angustifolium), plantes des milieux humides, mais aussi parfois sur les Onagres (ou Oenothères), qui affectionnent plutôt les terrains alluvionnaires ou les remblais. connaissance des moeurs du papillon ? Par
l’assèchement de zones humides, l’intensification du trafic routier (qui peuvent être localement mises en danger par des projets d’aménagement entraînant Si elle ne donne pas lieu à une seconde génération, la chrysalide hiberne.

est mentionné comme espèce nouvelle dans les mises à jour récentes de plusieurs Le réchauffement climatique favorise- t-il cet insecte ?