Und damit ist das Sujet des Films bereits umrissen: Es geht um die Vergänglichkeit inmitten von Schönheit.Maurices Tochter – die Theater- und Fernsehschauspielerin Angèle Barberini (Ariane Ascaride) – reist daraufhin in ihr Heimatstädtchen, dem sie vor langer Zeit nach einer Tragödie den Rücken gekehrt hat. cette "villa" restera un film mineur, sauvé par les deux plus jeune acteurs, solaires, Anaïs Demoustier et Robinson Stevenin.Beau film où Guédiguian oppose de manière caractéristique ancienne et nouvelle génération, passé et présent, idéaux de la jeunesse et contraintes de la réalité.
Guédiguian a fait mieux, tellement mieux. Angela, eine Schauspielerin aus Paris. C’est un film qui fait chaud au cœur, il parle de tout ce qui est inévitable et essentiel dans la vie : l’amour et la mort, les rapports entre des parents âgés et leurs enfants qui se redécouvrent vieux, l’avancée des jeunes, les mondes qui désormais n’existent plus que dans les souvenirs des vieux et les valeurs perdues peut-être à jamais. Lost, faraway offspring return to their elderly father, and the small community of the past is reassembled. Et le rétroviseur de la vie devient pesant, pesant, plombant même. Armand qui dirige le restaurant de son père pense en effet que tout était mieux avant, Joseph malgré sa relation avec une jeune femme a du mal à se projeter tandis qu'Angèle ne pense qu'au passé à cause d'un drame. Ce réalisateur engagé dirige une fois de plus ses acteurs fétiches (Ariane Ascaride, oh la la que je l'aime) et un "petit nouveau" dans la bande, Robinson Stévenin en marin pécheur amoureux, absolument craquant (il est le positif d'un film finalement nostalgique et assez triste)Oui c etait mieux avant l.On a droit dans le film au militaire africain qui serait surement plus necessaire chez lui et aux enfants migrants c est la totale quoi ..alors oui c etait mieux avantAvec "La villa", on retrouve l'univers de Robert Guédiguian qui dirige une fois de plus son trio d'acteurs préférés seulement dans son film teinté de nostalgie, on sent le réalisateur désabusé et résigné puisqu'il insiste sur le "c'était mieux avant". Concorso Venezia 74. A family reunion at a bay near Marseille. La complaisance dans cette nostalgie finit par peser, et il faut attendre les 3/4 du film pour donner enfin du souffle au film avec l'arrivée de ces enfants migrants. C'est une table parfaitement dressée avec  la promesse d'un plat appétissant mais au final force est de constater que le met est sans saveur .Hâte de le découvrir au cinéma. !Quelle chance d’avoir pu voir ce film en avant-première au Diagonal à Montpellier… toujours la même tendresse, j’en ai pleuré !Le meilleur de Guédiguian ! Très belle fin. Quel bonheur de revoir ces acteurs que l'on aime tant ! Review by L Saturnino ★★★★½ .
Une refléxion touchante sur la famille, la vieillesse et l’identité.La villa est un film renfermé sur lui même qui peine à émouvoir autant qu'à transporter. With Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan, Anaïs Demoustier, Robinson Stèvenin. Nostalgie du Marseille d'avant bien sûr (un thème récurent dans la filmographie du réalisateur) mais aussi de la vie passée. Un film qui préfère ressasser le passé plutôt que de voir tout ce que le monde a à offrir. C'est un peu inégal, parfois maladroit et plein de bons sentiments, mais c'est un joli petit film attendrissant qui réserve quelques moments d'émotion. Interesting characters include a hard-bitten but compassionate fish market worker with a drug addicted daughter and a moody bartender with a shocking secret life. Doch alsbald wird die Idylle durchbrochen: … Na derradeira frase de Os …